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Eté 2013

Nos boutiques éphémères attirent de plus en plus de monde !

Petit aperçu de nos créateurs et créatrices

Issoughan

Sophie Poyen

Boutabou

Claudine Dardaillon

Bijoux Bull

Jessica Mascaro - Kika

Mam'zelle Crâne

La Dépêche parle de nous...

 

Partie d’une volonté de la municipalité de redonner vie, le temps de l’été, à l’ancienne rue commerçante de Caylus (la rue Droite), l’opération «les Boutiques éphémères» offre un «plus» aux visiteurs de la cité médiévale. Entre l’église du 13e siècle et la place de Halle du 15e siècle, bâtie sur les anciens fossés du bourg castral, la rue Droite est tirée au cordeau.

Des créateurs investissent les échoppes du Moyen-Âge

Elle montre l’architecture de la sortie du Moyen-Âge, misant sur le commerce plutôt que sur la guerre, avec d’un côté le réemploi des pierres des remparts, de l’autre un quartier-bastide.

Les maisons devaient conventionnellement héberger en rez-de-chaussée les voûtes d’un commerce. C’est dans quelques-unes de ces boutiques que leurs propriétaires ont permis à la municipalité d’organiser l’accueil des créateurs installés pour l’été.

Fait main et unique

Une vingtaine de créateurs, hébergés dans quatre boutiques, se relaient pour exposer, dans la bonne humeur, leurs créations et celles de leurs collègues d’un été.

Quand on y entre, la première impression est celle d’un bazar : tellement de choses différentes dans le même espace ! Puis, observant le détail, on constate qu’il y a la patte d’une conceptrice de bijoux en macramé sur deux tables. À côté, sur des penderies ce sont des textiles confectionnés par une costumière de formation… Plus loin des tee-shirts modernes sont illustrés par des personnages qu’on retrouve en cartes postales ou porte-monnaie : ceux-là sont l’œuvre d’une graphiste qui cohabite avec bijoutière, couturière, macramé et petites zonzons.

Dans chacune des boutiques, il faut se donner le temps de découvrir l’univers de l’une ou l’autre des personnes qui se sont partagé l’été pour tenir permanence de «vendeuse» sans pour autant perdre son univers. D’ailleurs, celles qui le peuvent se sont apporté du travail et cousent ou piquent ou dessinent en accueillant le chaland.

 

La Dépêche du Midi

22/07/2013

 

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